Qualité d’un futur chef d’entreprise

6 aptitudes d’une personnalité d’entrepreneur

 

Souplesse d’esprit, courage, endurance, persévérance, soif de connaissances et sens développé du contact : six aptitudes sont indispensables à la personnalité de l’entrepreneur pour lui permettre de faire constamment face à l’imprévu.

 

On recense d’innombrables raisons de vouloir quitter sa vie de salarié pour maîtriser son destin professionnel en créant son entreprise : risque de licenciement ou de déplacement du lieu de travail, incohérences dans la stratégie de son employeur, incompréhensions chroniques avec sa hiérarchie ou manque de reconnaissance de sa part, perte ou absence de valeurs au sein de l’entreprise (notamment dans les grands groupes)…

Pour franchir le point de non-retour en se mettant à son compte, il est impératif que la frustration dans votre quotidien de salarié et l’expérience professionnelle déjà acquise soient suffisamment élevées pour pouvoir supporter un investissement personnel démesuré et absorber la complexité du métier d’entrepreneur.

Dans ce changement radical d’existence, six aptitudes sont indispensables à la personnalité de l’entrepreneur pour lui permettre de faire constamment face à l’imprévu :

  • La souplesse d’esprit, pour préparer activement son changement de vie et le mettre concrètement en œuvre sur une période de 6 à 12 mois (selon la complexité du projet et certains aléas) tout en subissant une modification de ses repères habituels : temporels, spatiaux, émotionnels, comportementaux…
  • Le courage, pour oser la prise de risques, affronter une recherche perpétuelle de solutions et prendre au moins une décision majeure par jour.
  • L’endurance, pour travailler 10 à 12 heures par jour, en limitant les loisirs et les vacances durant les 3 à 4 premières années d’activité.
  • La persévérance, pour accepter une certaine solitude et de nouvelles responsabilités (envers ses proches – en raison d’une incertitude sur la régularité des revenus – et ses salariés – qui comptent sur la performance du point de vente) et assimiler une logique financière différente du salaire mensuel en termes de revenus (avantages en nature, dividendes, capitalisation sur le fonds de commerce…).
  • La soif de connaissances, pour se remettre continuellement en question et se former régulièrement.
  • Un sens développé du contact, transcendé par une certaine forme d’optimisme, résultant souvent de la dynamique et de la confiance en soi engrangées lors de ses précédentes expériences.

Exemple de réflexion de candidat à la franchise : Issu d’une filière étudiante technique, Jean-Louis Kersac’h s’est rapidement orienté vers un métier commercial. A 45 ans, estimant avoir atteint son « Graal » en tant que salarié, c’est en se demandant que faire de ses 20 prochaines années professionnelles qu’il est devenu franchisé Diagamter à Suresnes en 2011. PORTRAIT – J-L. Kersac’h (franchisé Diagamter Suresnes) : « Le diagnostic immobilier permet une véritable découverte sociologique »

François Simoneschi

 

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