Témoignages franchisés Lippi Diagamter

4 TEMOIGNAGES D’INDEPENDANTS

Dans un réseau, les franchisés sont à considérer avec la même attention que le franchiseur.

Nous en avons fait témoigner plusieurs sur notre façon de travailler, issus de deux secteurs d’activité sur lesquels nous avons travaillé :

  • le diagnostic immobilier
  • et l’aménagement extérieur.

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D. Andrieu (franchisé Diagamter Le Havre) : « François (Simoneschi) sait se mettre à la hauteur de chaque personne, qu’il s’agisse d’un nouveau ou d’un ancien franchisé »

Franchisé Diagamter depuis près de 20 ans, Denis Andrieu apprécie l’écoute et la sociabilité dont fait preuve Le Chemin des Créateurs dans son activité, ainsi que sa neutralité durant les échanges et la qualité de restitution des propos.

 

 

Comment se sont déroulés tes entretiens avec François Simoneschi ?

Denis Andrieu : J’ai apprécié sa sociabilité dans son domaine d’activité, qui donne envie de partager sur les sujets d’interviews choisis. Il possède un grand sens de l’écoute, et reste toujours calme et serein.

Il sait se mettre à la hauteur de chaque personne, qu’il s’agisse de nouveau ou d’ancien franchisé, qu’il ait en face de lui le responsable de l’enseigne ou une personne qui vient d’arriver.

 

Quels échanges avez-vous avec lui, lors des réunions collectives ou autres ?

Denis Andrieu : Au Conseil Consultatif, on a confiance en lui. Il ne prend pas parti pour l’un ou l’autre, pour le franchiseur ou les franchisés.

D’une façon générale, il apporte un regard différent dans l’échange et retranscrit, quand il doit le faire par écrit, toujours les situations de façon neutre. Sa position lui permet d’écrire l’histoire de notre franchise.

 

Qu’apporte, à votre sens, ses actions pour le réseau ?

Denis Andrieu : Son action permet de recueillir des propos, d’écrire dans le marbre des idées qui circulent dans le réseau. Celles-ci pourraient tomber aux oubliettes bien qu’elles marquent les personnes sur le coup, et une fois écrites, elles serviront plus tard, notamment aux nouveaux franchisés.

François (Simoneschi) restitue toujours ces échanges sous une forme claire et vulgarisée, comme par exemple dans le manuel opérationnel, un sacré ouvrage, dans lequel les données sont bien rangées.

C’est important pour un réseau de franchise ou une grosse entreprise, quand on cherche une solution à une problématique, de pouvoir disposer d’une telle bibliothèque, un produit de qualité, rédigé correctement et dont le contenu est immédiatement compréhensible.

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E. Lorho (LIPPI Lorient) : « Les écrits du Chemin des Créateurs permettent à tout le monde, au sein d’un réseau, de se rapprocher »

Concessionnaire LIPPI depuis 2018, Éric Lorho s’exprime sur la confiance générée lors de ses échanges avec le Chemin des Créateurs (entretiens, rencontres), laquelle rejaillit sur celle exprimée par ses clients envers sa concession.

Le sens profond du métier du Chemin des Créateurs consiste à rapprocher des chefs d’entreprise indépendants pour qu’ils se parlent davantage et sincèrement entre pairs.

 

Comment se sont déroulés vos entretiens avec François Simoneschi dans le cadre de LIPPI ?

E. Lorho : François est à l’écoute, très constructif dans sa manière de procéder. Il laisse son interlocuteur s’exprimer. Il reformule nos propos au besoin, pour savoir s’il a bien compris ce que nous voulions faire passer comme message.ne relecture de l’interview, pour vérifier que les propos ont été bien retranscrits, et donc nous donne la possibilité de corriger certaines imprécisions.

Sa manière de procéder est sans ambiguïté dès le départ. Pour avoir été interviewé par d’autres journalistes, il existe malheureusement parfois une différence entre les propos tenus et ce qui reste finalement écrit…

Certains de mes clients lisent ces interviews. Cela les aide dans le choix de l’enseigne pour leur projet, et apporte de la confiance envers ma propre concession.

 

Quels échanges avez-vous eu avec lui, lors des réunions collectives ou autres ?

E. Lorho : Ces échanges sont intéressants, car François possède un vrai recul sur la franchise, sur les enseignes, sur ce qui a été mis en place par des confrères concessionnaires à travers toutes les interviews ou discussions informelles qu’il a déjà eues.

Le sens de son métier est de partager sur les bonnes pratiques au sein du réseau, par écrit et lors de conversations, ce qui apporte bien plus que le pur journalisme.

Sa présence lors des regroupements du réseau permet d’alimenter le manuel opérationnel et de partager avec les concessionnaires. Sa participation n’est pas seulement passive : elle est véritablement active, en nous permettant notamment de réfléchir sur nos propres méthodes en concession.

 

Qu’apporte, à votre sens, ses actions pour le réseau LIPPI ?

E. Lorho : François est en quelque sorte la mémoire du réseau, en étant présent dans toutes ses sphères, auprès du concédant et des concessionnaire. Par son expérience, il peut indiquer, au même titre que le responsable de réseau, les directions à prendre, les actions à mener. Sa présence est essentielle dans le réseau.

La procédure de relance des impayés, présente dans le manuel opérationnel, m’a par exemple aidé pour procéder au quotidien dans la gestion de ces situations. Le témoignage d’un concessionnaire sur le BNI dans notre newsletter interne m’a aussi influencé sur la nécessité d’intégrer un club d’entrepreneur.

Le métier, tel il est pratiqué par le Chemin des Créateurs, est absolument indispensable dans un réseau. Il n’existe pas mieux pour se rappeler ce qui été dit lors de réunions collectives, partagé entre confrères.

Sans ses interventions, on aurait l’impression que le réseau se meurt. Poster régulièrement des articles fait vivre et réagir le réseau, génère du lien entre concessionnaires, offre d’engager une conversation avec une personne dont on ne savait pas comment il pratiquait le concept de façon intéressante et qu’on n’aurait pas oser contacter. Les écrits du Chemin des Créateurs permettent à tout le monde, au sein d’un réseau, de se rapprocher.

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J-L. Kersac’h (franchisé Diagamter) : « Son travail est d’autant plus important aujourd’hui, en période post-Covid, que l’on a encore plus besoin d’échanger qu’auparavant »

Franchisé depuis dix ans, Jean-Louis Kersac’h a été l’un des premiers du réseau Diagamter en contact avec Le Chemin des Créateurs, dans le cadre d’un portrait (fin 2015). Il est intervenu plusieurs fois dans la newsletter interne Points de Repère, et rencontre régulièrement François Simoneschi lors des événements collectifs de l’enseigne, dont les animations régionales et le Conseil Consultatif. Il nous parle du sens de son travail rédactionnel et de sa façon de réaliser des entretiens.

 

Comment se sont déroulés vos entretiens avec François Simoneschi dans le cadre de l’enseigne ?

J-L. Kersac’h : François est calme dans son attitude, hyper rassurant. Il sait apaiser ses interlocuteurs, en prenant son temps, en étant à l’écoute, toujours avec bienveillance et empathie. L’interview se déroule de manière fluide, elle donne envie de se laisser aller à l’échange.

François n’impose pas son rythme à l’entretien. Il pose des questions ouvertes et donne place à l’imaginaire, chacun sentant qu’il peut apporter les réponses dont il a envie, ce qui amène à des interviews très riches.

C’est agréable de pouvoir parler de soi, tout comme de lire comment d’autres vivent la même chose que soi, en utilisant de bonnes recommandations, de bonnes pratiques d’autres franchisés.

 

Quels échanges avez-vous avec lui, lors de réunions collectives ou autres ?

J-L. Kersac’h : François n’est ni franchisé, ni franchiseur. Il fait partie du réseau sans lui appartenir. Il est de la famille. Il paraît logique qu’il soit présent à chacun des événements du réseau.

Son œil externe, qui n’est pas un « œil de Moscou », nous fait bénéficier de son expérience d’autres réseaux, avec une forme de conseil dans son approche. Par exemple, lors du dernier Conseil consultatif, il est intervenu sur quelques points, avec une position différente de la nôtre et de celle du franchiseur, qui était intéressante. Nous sommes parfois trop dans notre monde, technique et organisationnel. Il nous parle du sens d’un Réseau et de la Franchise.

 

Qu’apporte, à votre sens, ses actions pour le réseau ?

J-L. Kersac’h : L’échange de bonnes pratiques. C’est toujours rassurant intéressant d’aller voir ce que font les autres, ce qu’ils mettent en avant. On se dit : « tiens, j’avais pas pensé à ça », « et si je faisais comme lui »… Un réseau sert avant tout à cela : nous pratiquons tous le même métier, dans les mêmes conditions, en rencontrant les mêmes difficultés. On se construit aussi grâce aux expériences des autres.

Il n’y a pas de hasard si Guillaume Exbrayat, le président du réseau, a choisi François Simoneschi : c’était par volonté que cette approche externe donne encore plus de sens au côté humain du réseau, lequel a beaucoup de sens chez Diagamter. Le rôle de François est de comparer sans juger, de partager ses ressentis, de nous amener à nous livrer, toujours en laissant les franchisés faire leurs choix librement.

Son travail est d’autant plus important aujourd’hui, en période post-Covid, que l’on a encore plus besoin d’échanger qu’auparavant. Cette petite touche affective, humaine reste d’autant plus fondamentale que le confinement nous a éloigné les uns des autres.

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F. Rouvin (Concessionnaire LIPPI) : « En tant que concessionnaire, on se sent écouté et, ce qui est important, compris »

Concessionnaire LIPPI depuis 2016, Frédéric Rouvin a été plusieurs fois interviewés par l’enseigne (portrait, newsletter interne confidentielle…) par Le Chemin des Créateurs. Il explique son mode relationnel avec son dirigeant, dans le cadre… et hors cadre de la mission qui lui a été confiée.

 

Comment se sont déroulés vos entretiens avec François Simoneschi, dirigeant du Chemin des Créateurs, dans le cadre de sa mission pour LIPPI ?

F. Rouvin : Toujours très cordialement, avec beaucoup de chaleur humaine. Surtout, on se sent écouté et, ce qui est important, compris.

L’entretien ne dure jamais le temps imparti, car l’échange est toujours passionné. Par son humanité, il sait se mettre au niveau, y compris dans mon cas, sur des métiers pourtant différents de celui de l’enseigne. L’entretien est toujours retracé fidèlement.

 

Quels échanges avez-vous avec lui, lors des réunions collectives ou autres ?

F. Rouvin : J’ai apprécié que François Simoneschi soit tout le temps en immersion, étant demandeur d’échanges, notamment informels. Il a envie de s’approprier notre métier, de ne pas s’arrêter à la surface des choses, et de comprendre véritablement le pourquoi du comment de nos réactions et décisions.

En fait, il dépasse le rôle que lui a octroyé l’enseigne, pour que chaque concessionnaire se sente bien dans le réseau, sans zones d’ombre dans sa relation avec le concédant.

Il est plus qu’un journaliste : il joue un rôle de pacificateur, de passeur, voire de catalyseur pour que tout le monde avance, et sans jamais prendre parti.

 

Qu’apporte, à votre sens, ses actions pour le réseau LIPPI ?

F. Rouvin : François Simoneschi donne de la constance et de la cohérence aux contenus qu’il réalise. Il est présent quand le concessionnaire rejoint l’enseigne, et tout au long de sa vie dans le réseau.

Il est là du départ à l’arrivée du Tour de France, même pour des moments rébarbatifs, pas seulement au sommet du Mont Ventoux ou sur la photo « finish ». C’est ce fil continu qui donne du sens à ses actions pour le réseau LIPPI.

Qu’il reste abordable et humaniste au sens de s’intéresser sincèrement aux gens. Il est avec nous, certes pour « bosser et gagner de l’argent », mais il est aussi là parce son travail est enrichissant au sens humain du terme !

 

 

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